Navigation Menu+

Ma randonnée

Ma randonnée

Ma randonnée avec toi…, Monsieur le monde…! J’ai rêvé ma vie… Fils d’une génération endoctrinée par la religion, en défiant son autorité, bien de fausses boucles se sont déclenchées dans la spirale de ma démarche. Virevoltant de gauche à droite, bravant la censure du clergé, l’insoupçonné s’est annoncé. Tout semblait déterminé depuis mon enfance et du moïse à l’urne, j’ai toujours persévéré sur la route de ma destinée mais, rien ne sait passé comme je l’avais prévu dans l’itinéraire de ce parcours. Avant d’émigrer pour un ailleurs possible, un subtil désir caché de laisser l’empreinte de mon incarnation sur cette terre d’histoire, a toujours cherché à s’exprimer. Curieux de tout, autant que de moi, inquiétant à force de l’être, une vocation de peindre précoce que rien ne pouvait arrêter, ni le service du travail imposé, ni la critique des envieux qui me voyaient accomplir ce qu’ils n’osaient tenter; RIEN…, absolument rien, sauf, moi-même…. Et…, J’ai vécu mon rêve… Dans la recherche du murmure du monde, ma source, l’angoisse. À défaut d’écouter les racontars polémistes sur mon travail, j’ai toujours entrepris celui-ci dans le doute et achevé dans l’incertitude. Pour me venger de l’inertie de ma mort et entrer en vainqueur dans celle-ci, j’ai tué l’ennui. Dans la roue du temps, oui je suis mortel, mais partir avant de connaître ce que contient les profondes palpitations de mon cœur, pas pour moi. Cette fugue dans la vie insensible, je l’ai toujours crains avant de connaître l’art qui pour moi, s’est révélée sensible. C’est pourquoi je persiste encore et encore car, je ne suis pas venu ici que pour être qu’un simple artiste, je suis venu ici pour caresser le TOUT…! Car pour moi…, Palper le rien, ne me dis RIEN…! Le...

lire la suite

Mémoire organique

Mémoire organique

Mémoire organique… La maladie de ma mémoire et… Le pied en déséquilibre de ma petite enfance jusqu’au début de ma puberté, a amusé mon entourage, me jugeant comme schizophrène, autiste même, et cela m’a beaucoup aider. Critiques de l’art, allez-vous faire foutre! Un fou n’a plus de standing à maintenir alors, libre de copier, photos, images, tableaux de grands maîtres, tout ce que mes yeux touchaient, je les ai peins sans scrupules, pour dévoiler la vérité sur l’handicapé que j’étais. J’ai plagié aussi les mots du dictionnaire, pour décrire la lecture de l’histoire de mon œil, face à ma peinture. Ainsi, la capacité illimitée de traitement d’information de l’imagerie cérébrale de mon système visuel, a désactivé mon déficit de langage, en le bafouant par l’art. Ma sur-activation de ma passion, apparaît être l’origine de ma guérison de ce dysfonctionnement d’apprentissage de la parole, en déjouant mes structures neuronales devenues obsolètes et… La thèse de mon hérédité… Je vais vous gracier de mes études de mon cerveau comme ordinateur organique dont les capacités de traitements dépendent de l’héritage génétique où, une pluie de molécules complexes et même inorganiques, a versée un déluge d’axones connectées aux dendrites de mon arbre généalogique. C’est un mécanisme de sélection visuelle qui a régularisé mes neurones sensitives. L’élimination de liaisons synaptiques a exercée son influence pour court-circuiter mon cortex où j’ai engagé, l’émondage congénital de cet hérédité… Pour déceler deux formes d’intelligences… Le conscient et le subconscient…! Mes tableaux les confrontent en position de dialogue. L’un, raconte mon histoire à l’autre qui lui répond, dans un face à face évolutif, d’une analyse sélective d’une partie de mon vécu. Dans un coin de mon imaginaire, d’autres écrits et tableaux roupillent encore dans mes racines émotionnelles, en attente d’être remués par l’esprit de mes enfants… Au couleur d’or, de blé mur…! Le...

lire la suite

Le cervix

Le cervix

Souveraine genèse… Le Cervix…! Ce col de l’utérus se joint au sommet du vagin. Là où cette suavité adoucie la peau qui se trouve à l’intérieur des femmes secrétant l’odeur d’un léger goût de miel. Délice, pour mon cœur de cristal, aimanter par ma fièvre de vivre en m’aventurant vers l’inconnu. Au début était l’ovule…! Mais, je suis à peine plus gros qu’un point difficilement visible à l’œil nu. Excité, par l’excitation érotique qui déclenche la course des spermatozoïdes en vue d’être éventuellement fécondé vers un plaisir et une liberté libéré dans l’utérus, à l’instant quelle s’ouvrera, à l’instant quelle s’offrira. Elle me fécondera jusqu’à ce que le placenta prenne le relais. Infortune avantageuse vers ma merveilleuse naissance, aussi existante qu’une haute inspiration, enfiévrer par la couleur rouge alizarine du Chartier…! Maintenant, me...

lire la suite

Jouissance heureuse

Jouissance heureuse

Jouissance heureuse… BANG…! Une autre histoire pour l’humanité… Il fait encore nuit et à partir de quelques petites séances d’angoisses nocturnes assez réussies, je sens que l’aube qui bientôt paraîtra, ne sera à jamais la-même. Ma tension est à son summum. Je ne suis pas seul et ma trouille est pratiquement palpable tandis que le membre excité vibre sous les coups répétés en attente d’un vaporeux jet de sa lance de lancement. Je suis prêt, même si la peur de l’inconnu me fait trembler. Serré les uns contre les autres, moi, j’attends le signal. Soudain d’une poussé, l’issue s’ouvre dans un lieu humide et environ 200 millions comme moi s’y précipitent dans une impressionnante bousculade. Moi, je n’ai qu’une idée en tête : atteindre l’objectif, vite, vite, sans me perdre. Je vois les premiers rangs s’écraser par la poussée et même se déchirer mais moi, en évitant les pièges, je commence alors ma périlleuse progression vers la création d’une cellule unique qui renferme l’information génétique de chacun des partenaires. La ruée de l’art… Toute une débandade, un véritable périple parsemé d’embûches vers cette ovule qu’à peine quelques centaines réussiront à l’atteindre. C’est terrifiant, alarmant de guetter si elle me découvre parmi tant d’autres, ignorant que c’est mon patrimoine génétique le plus différent du sien qu’elle recherche. Quelle hantise, quelle angoisse, quelle anxiété mais, quand la sublime inconscience féminine me désigne enfin…OUF…! Vers le miracle de la vie…! C’est moi le vainqueur…! Après cette chaude bataille d’un transfert d’un corps à l’autre, l’étrange silence. Protéger par une chaleureuse chaleur, une douceur doucereuse d’une blancheur si blanche que j’y finirais mes jours dans cette inaction inactive mais, je sens qu’un nouveau futur, m’attends…! Le...

lire la suite

Spermatozoïdes

Spermatozoïdes

Spermatozoïdes Le sperme de l’homme a innové… Depuis le début de son incarnation sur cette terre d’accueil. En substituant à sa semence l’évolution de la pérennité de ses gènes, tout s’est enregistré, physiquement comme spirituellement. Le germe de l’homme, s’est adapté à la régénération de ses flairs de survie, engendré par l’évolution des descendants du temps, comme chercheur d’un passé récent, il réveille une vérité du fond des âges. Toute coalition avec l’ovule de la femme, qui nourrit au lait maternelle ces quelques centimètres de chair, de sang et d’eau, fécondera un nouveau matin, à l’amélioration de son espèce… Dans l’équation érotique… Et moi, parmi chaque couleurs, chaque teintes, chaque forces, chaque faiblesses, chaque énergies et chaque sensibilités dans le ventre de mon père, j’attends…! J’attends qu’une décharge jaillissante de la mémoire de son subconscient, optimise ma réforme pour me transférer dans ce col maternel… Pour engendrer une descendance…...

lire la suite

La fusion

La fusion

La fusion… (vision microscopique) Dans ce silence du règne zéro… Bourdonnent des milliards de milliards d’atomes englobés d’électrons-magnétiques (cercle de benzène) s’effleurant à la vitesse de la mécanique quantique quand soudain…, ((( Bang…))) Ce grand vide plein de tout, s’éclaire par cette contraction du ventre de l’univers. Le processus du soleil s’est déclenché après des milliards de milliards d’années d’homme, en brûlant l’hydrogène de cette forme de radiation en fournissant la lumière à cette vieille nuit noire. C’était l’impact attendu au géniteur du noyau de l’existence, pour réveiller ces deux forces nucléaires endormies, pour ce premier matin du monde. Quatre forces naturelles a permis ce phénomène… (Proton;) Force nucléaire forte; vice versa (Neutron;) Force nucléaire faible; vice versa Électron; Force électromagnétique; particules chargées L’attraction; Force gravitationnelle; la plus faible et aussi celle qui a la plus grande portée des (principe féminin ) ( principe masculin) extrayant du néant tout les éléments propices à l’éclosion de la vie. Quel nom porte ce nouveau souffle de vie…? Éjaculation de...

lire la suite

L’orant

L’orant

L’orant… On n’avait pas le droit de me faire prier pour les mensonges… De ces ermites morales, mentales et spirituels de toutes religions, qui prétendent être les seuls à détenir la seule vérité. En craignant la femme, ils se rejoignent tous pour prêcher l’abstraction de son importance dans la hiérarchie de l’histoire du monde. Devant sa gracieuseté, ces esprits forts ne voient que le négatif de ce cœur fécond à la chair rosée. En craignant sa prodigalité, ces parasites l’attaquent et l’appréhendent comme leur pire ennemi et cherchent à l’empoigner en sortant leurs griffes pour la jeter aux feux de l’enfer. Pour l’affronter, ils se servent des verbiages primitifs de leurs livres dits sacrés (bible, coran, etc.) qui la traite comme un sous-produit de l’homme et à genoux, ils m’ont déjà forcer à prier leurs Dieux pour la châtier comme l’ange du démon. Pouah…! Même manipuler par ces esprits forts… Dont j’affronte leurs mythomanies mystificatrices qui projetaient sur moi, des dogmes pour m’exclure du chemin de ma vérité. Leurs axiomes s’estompent comme le vent, dès que l’amour vrai, y fait obstacle. Quand j’observe et accumule mes propres expériences, il se déclenche en moi des conclusions probables qui m’oriente à la croisée de ce jour si attendu de ma vraie individualité, ma vraie identité, libre de leurs doctrines… Qui s’abattent à coup de véracité car si… En recherchant l’inspiration auprès de cette femme-ci, j’ai appris des leçons qui m’ont sorti de leurs rites de mystères. En vivant selon ma propre conscience, j’ai détecté le brouillard de leurs vérités et leurs prétentions spirituelles qui m’obligeaient à prier leur bon Dieu pour qu’il se venge sur cette héroïne par la torture, prouvant de ce fait même, leurs ignorances de l’Immortel, qui ne travaille jamais dans des buts punitifs. Dieu est bon, il ne condamne pas… Il...

lire la suite

La honte

La honte

La honte… À macérer l’estime de l’athée… Harceler par le jus condescendant d’un clergé qui m’oblige à me plier à vos règles pour faire de moi, un convenable et soumis fidèle. Décrier comme enfant de Satan, ce diable qui me rend méchant et mauvais, que vous devez chasser de mon cœur et de mon âme…? Des mots qui sonnent dur pour me dénigrer en m’envoyant dans le monde des rampants. Bible, théologie, écrits saints, livrets, une multitude d’apologie pour un païen comme moi et si vous croyez que mon cerveau doit être pilonné par votre dogme, afin que celui-ci y entre de force…MINUTE…! Votre église est pleine de vide…! Debout les morts, chercheurs de l’inutile, aventuriers de l’arche perdue, rêveurs d’une foi dont plus personne n’en ont rien à foutre. Sachez qu’une bonne morale a la légèreté d’une plume mais que l’exemple, a le poids de l’or. Pour éponger ma vie à mesure quelle s’écoule et entendre mon âme malgré le cri de vos aumôniers, sans punitions, sans devoirs, il n’y a qu’un seul mot, mais qui sonne doux en mon cœur…!...

lire la suite

Les sodomites

Les sodomites

Les sodomites... Endoctrinés par le virus religieux … Qui prônait l’abstinence sexuelle (contre nature), certains aumôniers ont ériger un mur devant leurs énergies naturelles. Constipés par leurs vœux du départ, la force de leurs instincts a perforé ce mur par une diarrhée des exigences naturelles. La ténacité de leurs intentions, c’est effondré, emportant tout leurs serments sur son passage et leurs corps n’ont pus résister à l’ivresse de luxures. Magnétiser par l’obsession de leurs libidos, ils se sont vénérés mutuellement entre-eux comme serviteurs tant aimés de Dieu, en gardant sous silence leurs libertinages pour ne pas nuire à leur secte. Leurs queues gonflent… Abandonnées à la fièvre des inclinations, enchainés dans la perversités, leurs pensées phalliques ont triomphé de leurs réserves et leurs culpabilités heureuses les ont menés tout droit à la déchéance et dans la pourriture de la décadence. Décharné de l’amour jaune (honte), leurs malins plaisirs, envoûtaient leurs queues à sonder d’autres jeunes culs à remplir pour assouvir leurs vices sur les enfants, sous le joug de leurs tutelles. Sur l’époque où… l’on amenait nos enfants vers eux…!   La religion s’anémie et son recrutement s’affaiblit tout autant. Soumis aux maîtres de toutes leurs indécences, l’immoralité d’une main, la queue de l’autre, sourds à ces nouveaux culs fragiles qui hurlent leurs plaintes dans la déchirure de leurs chairs, l’appel de leur débauche pousse toujours ces dépravés à traquer nos enfants. Pour satisfaire leurs obscénités, ils vénèrent toujours leur Dieu pour défendre le mythe du vice qui les occupe, leur permettant de rester étrangers aux lois de la société, l’accusant d’être sans fondements religieux, comme excuses…...

lire la suite

Le cri craché

Le cri craché

Le cri craché… Anime le goût de la révolte… Quand quelques ainés sont chez soi, égoïstement et lourdement endormis; à l’heure froide, à l’instant du vrai minuit…, apparait la crainte d’être dévoilés dans l’absence de leurs responsabilités envers leurs propres enfants. Avouant le sordide de certaines religions qu’ils ont rencontrés , la brutalité de certains passages sans solutions de l’héritage de leurs ancêtres,   certains prisonniers à la mémoire de leurs pères, n’ont pu se désinfecter en se purifiant en vue de leurs succession. Paralysés par la peur de leurs propres ascendants endoctrinés par une religion qui les accusait de tout les péchés du monde, ils n’ont vu que les erreurs de leurs descendants gardant sous silence leurs réussites. Sans ardeur, sans attraits, sans écoutes, à la croisade des innocents, quelques-uns s’excusent. Et provoque des larmes de hontes… Étonnés que certains adolescents s’unissent souvent dans le même sentiment d’écœurement (gangs de rue, cliques, clans,etc…) en jetant sur l’enseignement de leurs tuteurs, un refus de leurs passés par ce NON craché à la face de leurs pères. Ce qui unis nos jeunes, ce n’est pas la déchéance où ils se trouvent mais plutôt, dans ce qu’ils voient de leurs fausses héritages. Habituellement, on y retrouve deux groupes, deux vagues; ceux qui se précipitent à tout vivre et d’autres qui espèrent en finir; deux extrêmes, aucun milieu mais doués d’une intuition leur prouvant que quelque chose cloche quelque part sur le legs de leurs aïeuls. Dans le combat des lois curatrices… L’artiste, prêtre de l’art, souvent ignore l’erreur chez les jeunes en soulignant leurs réussites avec ardeur. Le vérisme, ce phénomène nettement défini, porte la flamme d’espérance d’une vie propre à nos enfants car aucun, n’est le fruit du hasard. Son seul but, adoucir les griefs des jeunes et attiser un sursis des angoisses, des solitudes et même morales sur l’horreur des vies volées de leurs géniteurs par la religion.   Malgré les aspects ambigus au niveau psychologique proprement dit, le pardon des lacunes de leurs aïeux, peut rénover le reste de leurs...

lire la suite

La musique

La musique

La clef des entités…. (Ma musique…) Malentendant de l’oreille, c’est une vieille histoire qui se répète. Suis-je plus pauvre ou plus riche de réflexions ou de visions que les querelles de l’ouïe et de la musique? La dualité des sexes s’étonne quand… un cratère musical provoque un bruit de tonnerre d’une éruption de notes poussées par des élans riches d’enthousiasmes dans une symphonie d’un compositeur sur la grandeur d’une sobriété qu’il l’habite. Le virtuose, arrivé à ce point de maturité extrême, détermine par son style ingénieux, compliqué et simple, un coloris plein de nuances à mes sensations pour traduire la timidité de mes hésitations sentimentales, au deuil de mes passions. Avec les lèvres de la mort dans ce grand geste éternel qui se retourne et se rejoint, l’hymne à l’amour charnelle ou la luxure célèbre cette fête galante – d’une galanterie tout autre des évocations saphiques des débuts des fantasmes qui fantasment déjà dans ma tête – rend ma pensée claire et apte par la forme à écouter ses confidences subtiles dans la clarté des jours nouveaux. Ses vibrations musicales m’entrainent dans le fantastique qui s’approche de la magie en me faisant sursauter par la parole de l’âme d’artiste qui comprend depuis toujours l’ivresse de mes désirs et son climat mélancolique.. apaise délicatement.. ma… conscience! D’une simple harpe, l’artiste ouvre la gamme au langage universel en faisant vibrer la lumière de l’âme de mon être infini, qui frissonne. La peau de mon cou se recouvre de chair de poule et le poil de mes bras se redresse devant la persévérance d’un(e) musicien(ne) à illustrer ce mystère dans lequel musique et poésie miment une danse d’espoir pour célébrer une forme d’union spirituelle entre l’homme et la femme en moi et ses notes dialoguent avec ce frisson endormi à l’appel de mon être infini, réveillant l’étincelle de mon existence. Le...

lire la suite

Solaris

Solaris

…..Solaris….. Dans ce silence … Dans la mort des mes sens humains qui libère mon âme… J’entends….! Entendre… Dans la rumeur d’une musique, des sphères célestes qui chassent mes regrets… Je vois…! Voir… Dans la beauté dénaturalisée qui rénove mon esprit… Je sens …! Sentir… Dans la fuite des fantômes de ma mémoire qui lève le brouillard… Je goûtes…! Goûter… Dans l’extase tranquille qui offre mon passeport à palper mon idéal… Je touches…! Toucher… Dans mon secret intime qui est l’objet de mon incarnation sur terre… ….Venant des étoiles béantes de l’univers gorgé de noir avec les prétextes de cette intelligence supérieure au vent des galaxies d’où glisse cette rumeur fossile qui descend depuis toujours vers quoi elle me mène – vers où ? – vers qui ? – sans partir, avant de connaître l’idée extraordinaire à ma si belle existence et…. la réaliser… DANS CE SILENCE…! Le...

lire la suite

Le fou du roi

Le fou du roi

Le fou du roi….! Un discret plongeon dans ma personnalité profonde me dévoile un pamphlet sur ma vie où la fusion de l’amour se joint à l’humour, proposant un peu de folie et de joie. Longtemps, j’ai vécu que pour faire rire; entre le rôle de l’idiot borné à celui de rusé menteur pour cacher, derrière moi, une idée d’ordre morale et philosophique ayant soif d’expérience. Je peux facilement sentir fusionner l’abstrait aux symboles figuratifs que je dispose plus clownestement encore, sur un tableau fugitif pour libérer la signification de ma vie en dégageant sa sensation d’elle-même. Il semble bien que la fusion des arts; sculpture, écriture, musique, poésie et peinture, corresponde à certaines de mes aspirations qui, elles, sont bien précises; dont découvrir le monde des couleurs qui réveille mon sentiment de mystère au-delà des phénomènes sur les profondeurs de mon moi réel, avec toutes ses possibilités. Face au chevalet, à grands coups de crayons et de pinceaux, de couleurs et de mots, je me suis servi de mes talents pour libérer ma vrai réalité avec sérieux sans jamais me prendre moi-même au sérieux. Et swingue la bacaisse dans le fond de la boite à bois….. Réjouissez-vous,…. Je suis votre….. FOU…! Vous êtes mon…..ROI….! Le...

lire la suite

Le Baptême

Le Baptême

Le Baptême….! Pour un enfant…le ciel…peut toujours l’attendre…! FOUTAISE…? Pour satisfaire l’ivresse des brûlures de mes désirs par de subtiles manèges, j’ai engagé une lutte désespérée contre la pathétique histoire de l’idée fixe sur l’ébauche de ma débauche avec mes mensonges sur l’amour. En cédant aussi à la nécessité de rassasier mes égoïstes espérances de prestige d’une passion matérielle qui se déprave en vieillissant, je me suis avorté moi-même; me perdant dans la manipulation hallucinatoire de ma traîtrise. Mais, les circonstances m’ont dominé en projetant sur moi l’ombre mouvante d’un fantôme qui m’enveloppait d’inclinaisons pour attiser la braise de ma solitude, de ma déchéance physique et morale en éloignant l’adulte d’aujourd’hui de l’enfant d’hier. Une grâce s’est manifestée par un hasard nécessaire pour que je retrouve, sous un tas de cendre, cette boule de vie parfaitement sentie de ma PROPRE chair. Ce NÉGLIGÉ, cet OUBLIÉ, ce COUREUR sur l’infini, ce MAÎTRE de mon talent qui attendait depuis si longtemps d’être adopté et que je reprends en mains pour lui confier sereinement le reste de mon âge. En ce jour, je baptise cet ange que j’aime…! Le...

lire la suite

Cosmos interne

Cosmos interne

Mon Cosmos Interne….! Je suis né d’entre les morts et voyez par vous-même qu’ils cherchent déjà à me ramener vers eux…! D’un perpétuel processus de transformation de l’univers comme du subconscient, du cosmos extérieur comme du cosmos intérieur, des ancêtres comme de moi, tous les éléments de la vie y sont enregistrés. Si j’apprends à le décrypter, je découvrirai que, du sein maternel d’où je prend mon envol pour traiter mes folies de jeunesse que je n’ose pas trop raconter de honte de rougir sur mes quelques notions confuses, je me suis trop souvent laissé guider par l’égo qui éclairait le chevalet de ma mort avec sa lumière éphémère, dans la chambre de mon corps. Ignorant TOUT de mon potentiel inhérent, je me suis isolé dans la turbulence de mes pensées erronées et soudain, la maturité a permit à l’éclair blanc de traverser le vide de mon cerveau pour réveiller sa beauté et l’exprimer sans frein; libre de faux préjugés. Cette ouverture d’esprit apodictique m’a dévoilé les secrets les plus intimes d’une existence à naître. C’est l’inspiration spirituelle qui est entrée par effraction dans mon labyrinthe intérieur pour m’adhérer en extase tranquille dans une forêt remplie de symboles, et de cet œil intérieur qui défie l’écriture des signes m’a aidé à soupçonné la destiné de ce moi illimité. Mon âme, par sa force, est un emblème, un indice, un signe, une escorte qui m’accompagne dans ma galaxie intérieure pour voir mon monde peuplé d’une entité encline aux confidences, me rendant apte à vivre dans le lieu de mon moi réel. Alors…aux aïeux…. patience, l’enthousiasme de terminer ce que j’ai déjà entrepris prime sur ma hâte de vous rejoindre, vous, qui m’attendez depuis ma naissance…. Le...

lire la suite

Possession

Possession

Possession Je t’ai…me! Cet amour illusoire de l’ego vieux depuis ma naissance, ce seigneur de la vermine repentante à force de vouloir être partout, n’est nulle part et mon cœur saigne autant que ma queue aime. Enfermer dans un carcan d’attaches pour m’enlever la tentation de vivre, souvent je m’engage dans un schéma romantique et fabuliste qui brise le cadre de ma vie réelle en m’abandonnant à la soumission. Dans l’avatar du romantisme, ce nouveau mal du siècle où j’ai sacrifié mes objectifs de vie au nom d’un autre, dans cet abstrait sentimentale d’étranges formes alléchantes et parfumées, je suis devenu quelqu’un… sans aucun intérêt. Sensible à la nostalgie face à la manipulation qui m’envahissait quand j’en vivais prisonnier, je me suis camouflé étroitement entre l’orgueil et la justification; et mes alibis de mots pour traduire mon retard amoureux envers moi-même ont évoqué le froid en déréglant tout mes sens. Cette situation m’a longtemps dominé.. éteint même et, comme manipulé, j’ai souffert la vie de cage que j’ai du quitter si je ne voulais pas frôler le spectre de ma mort tant j’étais décharné de l’amour incertain. Aussitôt que l’ivresse de vivre m’a éclairé en projetant sur moi sa lumière blafarde de l’astre stérile du je t’aime, j’en ai cherché un autre pour le chérir et l’aimer en commençant par… Moi-même….! Le...

lire la suite

L’enfant bleu

L’enfant bleu

L’enfant bleu DÉLIVRE-MOI…! Par amour d’un rêve, d’un sourire, d’un arbre; Par amour d’un poème, d’un seul mot, d’une seule phrase; Par amour d’une symphonie, d’une seule note, d’une musique; Par amour d’un tableau, d’une couleur, d’une nuance, d’une seule teinte; IL FAUT… Délivrer les vocations avant de laisser en nous la vie d’un Verlaine, d’un Mozart, d’un Rembrandt ….assassiné. Cette plainte qu’on entend parfois gémir au fond de notre sang… « IL FAUT L’ÉCOUTER » Écouter son cri qui nous déchire, qui déchire nos entrailles en cherchant à se libérer, car l’amour cherche à libérer le potentiel inhérent à chaque individu en lui donnant le courage d’être lui-même pour se découvrir et s’aimer. Le...

lire la suite

Racines de névrose

Racines de névrose

« NÉVROSE » Les racines d’une timidité morbide envers les étrangers animent les liens de la névrose et tout en se créant un monde restreint. Le sujet peut imposer sa dictature envers ses proches les plus vulnérables par sa cruauté verbale où l’on rencontre la brutalité sordide de certaines intentions de domination. Quand on ne dispose que d’un marteau, tout prend l’apparence d’un clou car la pénurie d’outils crée la carence de vision ne laissant qu’une rancune tenace pour assassiner subtilement celui même qui l’entretien. Sans résister aux vents d’influences impétueuses des forces du passé qui veulent l’anéantir et qui sont utilisées pour sa propre destruction, l’ombre d’éternité l’éclipse de lui-même en ne tentant RIEN, de crainte de paraître stupide devant ce grand censeur puissant qu’est son anxiété du jugement des autres, s’il échoue. Mais, l’espoir des instants consacrés à mieux se connaître, peuvent produire les éléments essentiels à une existence nouvelle. La légende des siècles qui annonce la fin de Satan, manque d’imprévu quand l’homme entre en lui-même et trouve le courage de demander de l’aide en dénonçant la peur qui le manipule depuis le début de sa vie. Le...

lire la suite

OH Verbe….!

OH Verbe….!

OH Verbe….! À l’émouvante puissance évocatrice…. Malgré la blancheur blafarde de ma vide main, tu persistes encore à me parler dans le langage des anges et celui des hommes à moi qui, infesté du pus d’hypocrisie, rampe sous mes alibis de mots pour justifier l’inertie de mon expression. T’adoptes le vers libre pour cerner le recueil de ma vie et répondre aux questions qui me pressent pour réveiller ma conscience mais, ton verbe se volatilise aussitôt saisi. Obstiné de l’oreille, que de gammes d’émotions il me faut passer pour m’ignorer même si j’entends cette rumeur fossile de l’égocentrique ordure d’angoisse qui s’imprègne en moi pour priver ma réalisation depuis ma naissance, et que tu n’hésites pas à brûler à mort plutôt que d’attendre la voir m’éteindre. J’ai voulu être le fils unique d’une famille nombreuse pour accomplir les plus belles choses mais…l’œil de mon être souvent m’entraine dans les abimes de cette amour raté depuis mon premier jour. Devant l’amnésie de courage pour exprimer mon talent, tu es parvenu néanmoins à me tirer quelque gestes de grâce, même en sachant que ce n’était que l’ombre de toi-même. Souvent, devant le délire de mon innocence qui braille mes excuses à chercher l’autre, toi, qui n’est responsable de rien, avec ton vocabulaire innovateur cherches toujours à me guider à le localiser. Cependant, moi, je m’interroge encore sur mon hésitation à te suivre me demandant…. que me dénoncerais-tu pas lorsque tu es l’instrument d’une âme inspirer de l’esprit de rénovation….? Le...

lire la suite

Le Forgeron…!

Le Forgeron…!

Le Forgeron…! Le sexe comme la vieillesse, Entre l’arrivée et le départ de mon existence, il y a quelques leçons à travailler et c’est la vie elle-même qui m’ y façonne. À sa forge, avec sa parole d’acier, elle prend l’allure d’un forgeron martelant sur son enclume, mes pensées de fer. Elle chauffe mon égo à vif pour perforer ma forteresse mentale qui emprisonne trop souvent, tout ce que je sais, mais que j’ignore. Si le feu, son dernier recours, ne m’était pas réservé, je n’aurais plus rien qui me contraindrais à progresser. Est ma porte d’entrée comme de sortie dans ce monde… De l’humilité à l’orgueil, du chaud au froid, de l’air à l’eau, de la terre au ciel, de la femme à l’homme comme de la sécheresse à l’humidité où s’évapore mille et mille semences, elle m’oblige à tout réévaluer et de sa parole illustrée, s’écoule tout ce que j’ai toujours su. Maintenant, les cheveux au vent je vais de l’avant, abreuvant ma soif de vivre cette vie nouvelle qui m’était réservé..… À peindre l’invisible et écrire son silence….! Le...

lire la suite