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Mémoire organique…

La maladie de ma mémoire et…

Le pied en déséquilibre de ma petite enfance jusqu’au début de ma puberté, a amusé mon entourage, me jugeant comme schizophrène, autiste même, et cela m’a beaucoup aider. Critiques de l’art, allez-vous faire foutre! Un fou n’a plus de standing à maintenir alors, libre de copier, photos, images, tableaux de grands maîtres, tout ce que mes yeux touchaient, je les ai peins sans scrupules, pour dévoiler la vérité sur l’handicapé que j’étais. J’ai plagié aussi les mots du dictionnaire, pour décrire la lecture de l’histoire de mon œil, face à ma peinture. Ainsi, la capacité illimitée de traitement d’information de l’imagerie cérébrale de mon système visuel, a désactivé mon déficit de langage, en le bafouant par l’art. Ma sur-activation de ma passion, apparaît être l’origine de ma guérison de ce dysfonctionnement d’apprentissage de la parole, en déjouant mes structures neuronales devenues obsolètes et…

La thèse de mon hérédité…

Je vais vous gracier de mes études de mon cerveau comme ordinateur organique dont les capacités de traitements dépendent de l’héritage génétique où, une pluie de molécules complexes et même inorganiques, a versée un déluge d’axones connectées aux dendrites de mon arbre généalogique. C’est un mécanisme de sélection visuelle qui a régularisé mes neurones sensitives. L’élimination de liaisons synaptiques a exercée son influence pour court-circuiter mon cortex où j’ai engagé, l’émondage congénital de cet hérédité…

Pour déceler deux formes d’intelligences…

Le conscient et le subconscient…! Mes tableaux les confrontent en position de dialogue. L’un, raconte mon histoire à l’autre qui lui répond, dans un face à face évolutif, d’une analyse sélective d’une partie de mon vécu. Dans un coin de mon imaginaire, d’autres écrits et tableaux roupillent encore dans mes racines émotionnelles, en attente d’être remués par l’esprit de mes enfants…

Au couleur d’or, de blé mur…!

Le Chartier