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QUI ES-TU…?

« La demi vérité »

Cela te rappelle-t-il quelque chose…non…hum!

Tu n’y as jamais pensé… jamais? Pourtant, la quête de notre différence est normalement recherchée et toi, tu n’y as jamais songé. Bon, ben, as-tu par contre, remarqué que dans les yeux d’un autre, quelquefois, tu y trouve l’étincelle d’un certain bonheur? Oui, enfin, maintenant on peut discuter car à peut près tout le monde y a passé. Le marathon du bonheur en essouffle plusieurs et les rencontres, plus souvent qu’autrement, nous déchantent. De l’enfant à l’adulte, en réalité on cherche toujours son double, son ombre, son complément…l’AUTRE.

En course vers le fil d’arrivé, suffoqué comme coureur(se) de bonheur, un bon matin, face au miroir, on découvre qu’un étranger nous regarde. C’est peut-être le signal qu’il est temps de faire l’inventaire d’une identité perdue? Celui qui rejoint la naïveté de l’enfant qui patiente encore en lui, à coup sûr retrouve son identité, sa véritable personnalité et son SOI AUTHENTIQUE.

QUI ES-TU…?

« L’entière vérité »

Le premier émoi…

De mes rêveries d’enfance et de mes désirs juvéniles. Précoce… Bien sûr…! Curieux dès ma tendre jeunesse, j’ai découvert que le zizi de ma sœur était dedans et que le mien, dehors. Même à cette âge, ça provoqué un intérêt pour de futurs jeux sexuels. À l’adolescence, mes pensées nourries de fantasmes, plein de testostérones, poussé par ma quête de nymphettes, j’étais prêt à tout faire pour apaiser de cette énergie sexuelles et croyez-moi, la pulsion se voyait. Ma queue gonflée braquait l’intérêt de mon vice, défoncer ces culs à déflorer. Dans ce marathon de plaisirs égoïstes, plein de mensonges et vanité, m’essoufflant dans des rendez-vous qui souvent me déchantaient, j’ai persisté. Mais quel vide, quel vide que même la vantardise ne pouvait remplir. Enivré l’orgueil d’un pauvre con par l’illusion qu’une chasse vicieuse engendrait un bonheur..<<.UTOPIQUE.>>.. Je pouvais que m’éloigner de moi-même, jusqu’à ma libido me ralentisse….,

Pour me rappeler…

Qu’à la recherche d’une identité perdu, affaibli et débandé, un bon matin face au miroir, un étranger m’interroge. Qui es-tu…? BANG…! Choc attendu pour lâcher prise et rejoindre la naïveté de l’enfant qui patiente encore en moi. C’est cet oublié qui a comblé ce que je m’étais toujours refusé, en gavant mon cœur d’espérance et, sans course au fil d’arrivée de l’abandon, par enchantement…

L’AUTRE…, m’est réapparu…

Mon moi

AUTHENTIQUE…!

Le Chartier