L’idée de vie…

L’arbre bourgeonne…

Quand je songe à mes chemins non pris, mes rêves avortés, je m’interroge…? Devant la femme, (idée), de sa beauté, l’égérie du dévouement aux ressources qui l’accompagne à aimer, à partager, quoi privait l’espoir de mon pauvre cœur désespéré…? Une telle grâce devait m’inspirer à libérer tout mon potentiel congénital, dont l’entre-aide est la qualité première et pourtant, devant tant de gracieuseté, comme héritier du fléau de doctrines religieuses, je suis devenu sourd, aveugle et stérile de générosité. La religion m’a éloigné de moi-même et pour me déshérité de ces doctrines officiels de cette secte et discerner l’ampleur de mes possibilités, il me reste que L’APOSTASIE….

Sa sève va me nourrir car…

Mon legs consommé, je reviens comme un revenant dans la maison de mon âme et à présent, je les voies bien s’entre-tués dans la brune de leurs vérités. Dans la nuit noire de leurs enseignements, l’ombre de leurs dogmes les incitent malgré tout, à ouvrir les portes de l’enfer en poursuivant leurs éternelles rivalités qui n’entraînent que leurs morts…! Toute religion divise l’homme mais…

Ce que la religion désunit…

La fraternité le réunit…!

Car l‘art a l’effet d’un seau glacé jeter à la face de ces spiritualistes religieux. Édictés par des rétrogrades bornés, l’art me révèle la vérité sur l’histoire de leurs mensonges. Libre de leurs cultes, ma faim, ma soif d’utilité se comble de satiété car, l’unité que l’arbre de vie me suggère en m’harmonisant avec moi-même, m’alimente d’un bonheur contagieux, que je vous partage…!