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L’agitatrice…

La volupté de Sophia…

Dans mon lasciveté intime, enclin au voyeurisme, j’ai fantasmé en mettant en scène Sophia, atteindre l’orgasme à se trémousser, sur le dos d’un verrat. À la recherche d’un plaisir nombrilisme, ma pulsion sexuelle gonflait mon pénis et de ma main, je le soulageait d’une tension qui explosait de lui-même. Érection vaniteuse défiant ce fruit défendu, acte orné d’une ruse érotique, espérant d’enivrer son regard pour l’affriander vers l’organe à dévorer, je le concède…!

Dénigré par l’église…

Et perçu comme un danger à l’instar d’une sorcière, ce sacrilège est jugé du genre féminin par l’enseignement du clergé. Rendre coupable Sophia de la faiblesse de ma piété et de mon péché…STUPIDE… De part sa beauté, elle serait selon l’église, l’instigatrice de mes rêves luxurieux. En s’infiltrant dans mes pensées, son charme aurait déréglé mes propres sens morales pour basculer dans le piège de ses désirs. FOUTAISE..! Je ne vois aucun mal à me faire du bien et s’il y a un coupable, c’est bien moi et NON, Sophia…!

Et la folie des bénédictins…!

Mais VOUS…! Ne vous y trompez pas ! Ni les débauchés, ni les idolâtres, ni les sodomites, ni les pédérastes de vôtres genres, n’hériteront du royaume de votre Dieu. Vous trouvez étrange que vos curés se précipitent aussi dans la débauche vénérienne avec quelques paroissiennes et même, les enfants sous leurs tutelles. Vos églises sont remplies d’absents alors, avant de calomnier Sophia, il y a un tabouret vide qui vous attends pour faire l’inventaire de la faiblesse de vos queues. Il y a sûrement de quoi pour vous éclairer sur l’agonie de votre église,…?