L’emprise…
Cramponner au ventre de la terre…
Cette rumeur fossile germe au profit d’une mythomanie écrit depuis une légende des siècles. Même enrobé d’un certain charme mélancolique, la crucifixion est l’arnaque qui s’est enracinée dans notre imaginaire collectif que, l’art tente de déraciner. On aime tous Jésus (Jéshua) mais on est agrippé à cette fausse croyance qui persiste à le voir souffrir en mourant sur une croix et, on se choque lorsqu’on nous apprend qu’il a vécu heureux accompagné de sa famille. La réalité c’est que Jésus n’est jamais mort à l’âge de 33 ans, crucifié sur sa croix pour expié tout les péchés des hommes. Il est décédé une quarantaine d’années plus tard, ivre de bonheur dans les bras de celle qu’il a toujours aimé, entouré de ses enfants…ref; #13 l’énigme de Jéshua, #11 la noce de Jéshua.(Jésus) Ceux qui se scandalisent de le savoir heureux, l’aimaient-ils que dans la souffrance…?
L’art extrait la vérité et…
Quand les prémices d’événements sont claires et nettes, quand l’histoire est en ordre, quand le canular est identifié, quand les anciens charlatanismes sont dévoilés…alors, s’installe une forme de réconciliation avec nous-même et il devient alors possible de vivre la béatitude. Mais, quand l’histoire est falsifié, le cours de notre vie pourrit sous ces détritus de ce mensonge. L’anesthésie de cette exégèse qui recycle la souffrance en perpétuant son histoire, nous fait errer comme des revenants dans les catacombes de notre âme et l’art s’attaque de l’extirper avec la pioche de l’évidence. À l’inverse de cette escroquerie romancé, l’art donne la valeur à chaque personne et la priorité au moi à tout prix, en restructurant la vérité dans un recoin de notre mémoire rarement visité et…
Rénove notre vie…!
J’ose mettre en duel la véracité et la supercherie de toutes sectes chimériques, pour les neutraliser par les confidences de l’art. La religion est une arme de destruction massive et ce n’est pas un adversaire à abattre à coup de courtoisie. Exhiber tout symboles religieux, nous rend inaptes à supporter le bonheur naturel. Il nous condamne à porter notre propre croix, aspirant quelques extrémistes, de finir sa vie en martyr pour passer à l’histoire…